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Le Président de l'Assemblée nationale, Christophe Mboso, a, lors de son discours d'ouverture de la session ordinaire du septembre, rappelé que le génocide congolais devrait rester dans la mémoire collective.

L'élu de Kenge dans la province du Kwango et président de l'Assemblée nationale a tenu à rappeler que la RDC est victime depuis 1998 d'un génocide. Et ce génocide congolais doit rester dans la mémoire collective de tous les congolais.

Christophe Mboso appelle les congolais à encourager toutes les initiatives visant à ancrer  dans la mémoire collective toutes ces peines endurées par les populations congolaises depuis 1998.

Il a nommément cité Paul Kagame comme l'axe du mal dans le désordre qui sévit à l'EST de la RDC à travers les terroristes du M23.

Le Président de l'Assemblée nationale a appelé le gouvernement à investir davantage pour faire avancer les projets d'intérêt commun et tenter de baisser la souffrance de la population congolaise. Et pour cela, il invite le gouvernement, outre la relance de l'agriculture, à s'investir dans la lutte contre la corruption et le blanchiment des capitaux. Il a rappelé qu'il faudrait des dispositions plus répressives contre la corruption et c'est dans ce sens que l'assemblée nationale pourrait aider la République en modifiant le code pénal.

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